Tutti per la Mamma

Petite histoire très perverse inspirée par mes rencontres lorsque je t’étais célibataire sur Mektoube et Inchallah.com et par les confessions d’une jeune femme qui fantasmait être baisée pendant que son frère mate sur la chambranle de la porte.. Qu’en pensez-vous ?

Chapitre 1 : Les Doutes dans l’Ombre

Un grondement sourd de mobylette déchire le silence de Courbevoie cette nuit, avant de s’évanouir dans l’obscurité, laissant un calme presque irréel. Je suis dans ma chambre, allongé sur mon lit défait, casque audio sur les oreilles, les yeux fermés, mais je suis loin de dormir. À 19 ans, étudiant en première année de fac, je passe mes journées entre cours barbants et révisions, mais ce soir, mon cœur cogne dans ma poitrine, un rythme rapide et désordonné, pas à cause de la musique qui bourdonne doucement dans mes tympans, mais à cause des soupçons qui me bouffent depuis des jours. Ma mère, Fatima — 45 ans, peau dorée, cheveux noirs lissés tombant en rideau, silhouette voluptueuse avec des hanches épaisses et un cul charnu —, a des regards fuyants, des sorties bizarres qui puent le secret. Amina, ma sœur — 20 ans, peau mate, cheveux bouclés cascadant sur les épaules, corps provocant avec un cul bombé —, traîne des silences lourds, des absences qui me mettent les nerfs à vif. J’ai craqué il y a quelques jours, commandé des caméras espions sur un site louche — petites, avec vision nocturne et zoom —, et je les ai planquées dans l’appart : une dans le salon près de la télé, une dans la chambre de ma mère, une dans celle d’Amina. Ce soir, je vais enfin savoir ce qu’elles cachent.

Je prends mon téléphone, mes doigts tremblent légèrement sur l’écran, une sueur discrète perlant sur mon front, et j’ouvre l’appli de surveillance. La lumière bleue éclaire mon visage, et le salon s’affiche, sombre, baigné par une lampe tamisée qui jette des ombres vacillantes sur les murs défraîchis. Ma mère est vautrée sur le canapé, son jogging gris pendouillant sur ses hanches, son sweat large masquant ses formes, un sourire en coin étirant ses lèvres pleines. Elle fixe son téléphone, ses yeux sombres brillant sous la lueur de l’écran. Je zoome, le micro capte sa respiration, rapide, saccadée, comme si elle retenait quelque chose. Elle est sur Mektoube.fr, le logo clignotant dans un coin. Elle tape un message, ses doigts dansent sur l’écran, et je pousse le zoom au max, assez pour lire par-dessus son épaule.

« T’es plus du genre douce ou sauvage ? » écrit un mec, « Karim ». Elle répond vite : « Sauvage, et toi ? » Mon souffle se bloque dans ma gorge, un frisson me parcourt l’échine. Sauvage ? Ma mère ? Il réplique : « Moi aussi. J’aime quand c’est brutal, quand une femme me dit quoi faire, quand elle encaisse sans broncher. » Elle tape, ses ongles claquant sur l’écran : « Moi, j’veux qu’on me défonce, qu’on me remplisse partout. J’aime les bonnes queues épaisses » Je cligne des yeux, une sueur froide coulant sur mon front, choqué, mais une chaleur étrange s’allume dans mon ventre, mes doigts crispés sur le téléphone. Il répond : « T’inquiète, j’ai ce qu’il faut. J’aime les femmes qui kiffent ça fort, qui en redemandent. T’es du genre à tenir plusieurs rounds ? » Elle écrit : « Ouais, et toi, t’es du genre à me gaver de foutre jusqu’à ce que j’en puisse plus ? » Il balance : « Toujours. J’te remplirai tellement que tu sentiras encore demain. » Mon sang pulse dans mes tempes, mes mains moites glissent sur l’écran, une érection naissante tend mon jean, un mélange de choc et d’excitation que je peux pas expliquer.

Elle hésite une seconde, ses doigts suspendus au-dessus de l’écran, puis tape : « T’es dispo là ? » Il répond instantanément : « Oui, et toi ? » Elle jette un œil furtif vers le couloir — vers ma chambre, vers celle d’Amina —, un éclat sauvage dans ses yeux sombres, puis tape : « Viens chez moi, 23h30. Escalier de service, fais pas de bruit, mes gosses dorment. » Elle envoie l’adresse, pose le téléphone sur le canapé avec un claquement sec, et se lève d’un bond, ses mules claquant sur le parquet usé comme un signal. Je bascule sur la caméra de sa chambre, mon pouls s’accélérant encore, une sueur chaude perlant sur mon front. Elle entre, vire son jogging d’un geste rapide, le tissu gris tombant en tas sur le sol, dévoilant ses cuisses robustes et son cul charnu qui tremble légèrement sous la lumière douce de la lampe de chevet. Elle arrache son sweat, sa peau dorée nue, pas un poil de tissu en dessous, ses tétons sombres pointant dans l’air frais. Elle ouvre le placard, en sort une robe rouge moulante, un truc qui épouse chaque courbe comme une seconde peau, et l’enfile en un mouvement fluide, sans sous-vêtements, le tissu tendu sur ses hanches épaisses, ses tétons visibles à travers. Elle se maquille devant le miroir — khôl sombre soulignant ses yeux perçants, rouge carmin barbouillant ses lèvres pleines —, vaporise un parfum musqué qui sature l’air, une odeur lourde et entêtante qui me prend à la gorge à travers le micro. Elle ajuste ses cheveux noirs, les laissant tomber en rideau soyeux sur ses épaules, et retourne au salon, ses talons claquant avec une assurance qui me fait frissonner, un mélange de défi et de désir brut dans sa démarche.

Je reviens à la caméra principale, zoome sur la cour en contrebas, mon souffle court, mes mains moites glissant sur le téléphone, une chaleur sourde pulsant dans mon bas-ventre, ma queue commençant à durcir sous mon jean. À 23h33 pile, une silhouette émerge dans l’obscurité de la cour — Karim, grand, peau bronzée tirant sur le cuivre, barbe courte bien taillée, vêtu d’une veste noire qui souligne ses épaules larges et ses biceps tendus, une démarche assurée et brutale qui dégage une aura de puissance. Il monte l’escalier de service, ses pas discrets sur les marches métalliques, chaque craquement léger amplifié par le micro, et ma mère l’accueille à la porte, un doigt posé sur ses lèvres rouges, son regard brûlant fixé sur lui : « Chut, mes gosses dorment. » Il entre, sa voix grave résonne dans le silence, un grondement rauque qui me fait frissonner : « T’es encore mieux que sur tes photos, putain. » Mes doigts tremblent plus fort, une sueur chaude coule dans mon dos, glissant le long de ma colonne, et une érection naissante tend mon jean, une pulsion que je combats mais qui s’impose, implacable. Je zoome encore, captant chaque détail — ses yeux noirs qui la dévorent comme une proie, son sourire de prédateur dévoilant des dents blanches, et ma mère qui le fixe avec une lueur sauvage, un éclat de défi et de désir brut dans ses yeux sombres. Mon cœur bat à tout rompre, ma gorge est sèche, mes mains moites glissent sur l’écran, et une chaleur intense monte dans mon ventre, un mélange de choc et d’excitation perverse qui me prend aux tripes. Je sais que ce que je vais voir ce soir va tout changer, et putain, je suis déjà accroché, incapable de détourner les yeux.


Chapitre 2 : La Visite Nocturne

Une brise tiède glisse par la fenêtre entrouverte, portant l’odeur métallique de la nuit sur Courbevoie, un silence pesant enveloppant l’appart comme une couverture épaisse. Je suis toujours dans ma chambre, casque audio en place, écran portable allumé devant moi, suivant ma mère et Karim au salon en direct. Mon cœur bat à un rythme désordonné, mes mains moites tremblant légèrement sur le téléphone, une sueur chaude coulant dans mon dos, trempant mon t-shirt jusqu’à coller à ma peau. Elle s’approche de lui, ses talons claquent doucement sur le parquet usé, sa robe rouge moulante épousant ses hanches épaisses et son cul charnu, le tissu tendu sur sa peau dorée, ses tétons pointant comme des appels muets à travers la matière fine. « T’as pas beaucoup de temps, » souffle-t-elle, sa voix rauque vibrant dans mes écouteurs, un grondement qui me fait frissonner de la tête aux pieds. Il l’attrape par la hanche, ses mains larges et brutales la collant contre lui, ses doigts s’enfonçant dans sa chair à travers la robe, marquant sa peau de traces rouges fugaces. « Baise-moi fort, mais fais pas de bruit, » ordonne-t-elle, un éclat autoritaire dans le ton, ses yeux sombres brillant d’une lueur sauvage qui me cloue sur place. Mes doigts moites glissent sur l’écran, je zoome au maximum, captant chaque mouvement, une chaleur pulsante s’allumant dans mon bas-ventre, ma queue durcissant sous mon jean, un mélange de choc et d’excitation brute me prenant aux tripes.

Il la plaque contre le mur avec une force contenue mais brutale, le plâtre vibre légèrement sous l’impact, un craquement discret résonnant dans le micro, et d’un geste sec, il soulève sa robe jusqu’à la taille, dévoilant ses cuisses robustes et son cul charnu, la peau dorée luisant sous la lumière tamisée de la lampe. Elle écarte les jambes d’un mouvement instinctif, un soupir étouffé s’échappe de ses lèvres pleines, ses ongles griffant le mur avec un crissement léger qui me fait frissonner. Il baisse son pantalon en un éclair, le tissu noir tombant sur ses chevilles avec un froissement sourd, et sa queue épaisse jaillit, veinée, dure comme du bois, luisante sous la faible lueur, une goutte de liquide précoce perlant à son extrémité, brillante comme une perle dans la pénombre. Je sens une sueur froide couler dans mon cou, mes joues brûlent comme si j’avais de la fièvre, et une érection massive tend mon jean, une sensation que je combats en vain, mon souffle devenant court et irrégulier, ma gorge sèche comme du papier de verre. Il la pénètre d’un coup brutal, un grognement rauque s’échappant de sa gorge, profond et guttural, et elle mord sa main pour étouffer un cri, ses ongles laissant des marques blanches sur le plâtre, un son aigu et discret qui me fait serrer les dents. Le micro capte tout — les claquements de peau contre peau, rapides et rythmés comme un battement primal, le frottement humide de leurs corps qui s’entrechoquent, ses gémissements sourds qui percent le silence, à peine contenus par sa main crispée sur sa bouche. « Remplis-moi, » murmure-t-elle, sa voix tremblante de désir, presque un ordre, un grondement bas qui me fait frissonner jusqu’aux os, mes mains moites glissant sur le téléphone, mon excitation montant d’un cran.

Il accélère, ses mains agrippant ses hanches si fort que des marques rouges s’impriment sur sa peau dorée, ses doigts s’enfonçant comme des griffes, son souffle rauque résonnant dans mes écouteurs, un son bestial qui me fait serrer les poings. Ses coups sont profonds, brutaux, implacables, le mur tremblant à peine sous la force contenue, et je zoome sur son visage à elle — ses yeux mi-clos, voilés par un plaisir brut, sa bouche entrouverte laissant échapper des soupirs étouffés, ses lèvres rouges luisant de salive sous la lumière tamisée, un filet brillant coulant sur son menton. Mon souffle s’accélère encore, mes joues brûlent, une chaleur intense envahit mon bas-ventre, ma queue pulsant si fort dans mon jean que c’en est presque douloureux, une érection que je peux plus ignorer, mes mains moites glissant sur l’écran alors que je capte chaque détail. Il la pilonne sans relâche, ses muscles se tendent sous sa veste noire, ses grognements deviennent plus profonds, plus sauvages, et soudain, il pousse un grondement guttural, primal, un son qui me fait frissonner jusqu’aux os, mes doigts crispés sur le téléphone, ma sueur coulant en ruisseaux dans mon dos.

Il se vide en elle, un déluge chaud et épais jaillit de sa queue, inondant sa chatte d’un flot crémeux et abondant, un torrent visqueux qui déborde en ruisseaux épais et blancs, coulant le long de ses cuisses robustes comme une cascade gluante, dégoulinant en gouttes lourdes sur le parquet, éclaboussant le sol en petites flaques épaisses qui brillent sous la lumière tamisée, une mare collante se formant sous elle, luisante et obscène. Elle tremble, ses jambes flageolent sous l’assaut, un sourire satisfait étire ses lèvres rouges, et elle glisse une main entre ses cuisses, ses doigts plongeant dans le sperme encore chaud, ramassant une poignée épaisse et collante qu’elle porte à sa bouche, un grondement sourd s’échappant de sa gorge alors qu’elle suce ses doigts lentement, ses lèvres se refermant sur le foutre gluant avec un bruit humide et obscène. Une goutte épaisse pend de son index, elle l’aspire avec un « slurp » sonore, laissant une traînée luisante sur son menton, ses yeux sombres brillant d’un éclat vicieux qui me fait frissonner de la tête aux pieds. Elle en ramasse encore, un filet visqueux coulant entre ses doigts, et l’étale sur ses lèvres comme un gloss obscène, le léchant avec un soupir de plaisir, sa langue glissant sur le sperme collant, en tirant des fils gluants qui brillent dans la lumière, un spectacle qui me coupe le souffle, mes joues en feu, ma sueur trempant mon t-shirt jusqu’à coller à ma peau.

Elle plonge à nouveau ses doigts dans sa chatte, récupère une masse crémeuse et abondante, un mélange de foutre et de mouille qui dégouline en ruisseaux épais sur sa main, et elle l’étale sur son visage, barbouillant ses joues et son menton d’une couche luisante, un masque obscène de sperme qu’elle lèche avec un grognement de plaisir, ses lèvres rouges luisant sous la lumière, des gouttes épaisses tombant sur sa poitrine, tachant la robe rouge en auréoles sombres et collantes. Une odeur âcre et salée semble presque traverser l’écran, un mélange de sueur et de sperme qui sature l’air, et je sens ma sueur couler en ruisseaux dans mon dos, mon t-shirt collant à ma peau, ma queue pulsant si fort dans mon jean que c’en est presque insupportable, une érection massive qui me fait serrer les cuisses, mes mains moites glissant sur le téléphone, mon souffle court et irrégulier, ma gorge sèche comme si j’avais avalé du sable. « Pars vite, » dit-elle enfin, sa voix rauque tremblant encore de désir, ajustant sa robe rouge qui colle à ses cuisses trempées, le sperme continuant de couler en filets luisants sur ses jambes, dégoulinant en gouttes lourdes sur le sol avec un petit « ploc » humide, une traînée gluante marquant son passage. Il remonte son pantalon d’un geste rapide, disparaît dans l’escalier, ses pas résonnant faiblement sur les marches métalliques, un écho discret qui s’évanouit dans la nuit.

Elle s’effondre sur le canapé, essoufflée, ses jambes écartées, une main glissant encore entre ses cuisses pour récupérer une dernière goutte de foutre qu’elle ramasse avec deux doigts, un filet épais et blanc coulant entre eux, pendouillant comme une toile d’araignée obscène. Elle le porte à sa bouche, le suce avec un bruit humide et avide, ses lèvres rouges luisant de sperme et de salive, un rire bas et satisfait s’échappant de sa gorge, ses yeux sombres brillant d’un éclat sauvage qui me fait frissonner jusqu’aux os. Elle en ramasse encore sur le canapé, une flaque collante qui s’est formée sous elle, et l’étale sur ses lèvres, le léchant avec un soupir, laissant une goutte épaisse tomber sur sa langue qu’elle avale bruyamment, un « gloup » sonore qui résonne dans mes écouteurs. Je coupe l’appli, le souffle court, mes mains moites tremblant sur mes cuisses, ma sueur trempant mon t-shirt jusqu’à coller à ma peau comme une seconde peau, une érection massive pulsant dans mon jean, une chaleur brûlante envahissant tout mon corps, mon cœur battant à m’en faire mal, ma gorge sèche, mes joues en feu comme si j’avais pris une claque. Putain, ma mère, ma propre mère, s’est fait défoncer juste là, à deux pas de moi, et elle a kiffé chaque goutte de foutre qui a coulé d’elle, chaque jet épais qu’elle a sucé comme une affamée, chaque flaque gluante qu’elle a ramassée avec une avidité perverse. Les caméras tournent encore dans l’appart, et je sais que je vais pas m’arrêter là, que cette nuit a allumé un feu en moi, une pulsion brute, une envie de voir plus, de capter chaque secret qu’elles cachent derrière leurs sourires innocents.


8 commentaires

  1. C’est littéralement bandant mais personnellement j’ai jamais fantasmé comme ça sur ma maman 😵‍💫😅

  2. Je suis maman mais aussi libertine et j’aime le sexe.
    On peut être maman et aimer que des jeunes mecs vous defonce 😉😋

      • Je sais que c’est transgressif. En même temps j’essaye d’être honnête avec moi même. Je ne suis pas la seule mais nous sommes plus réservées que vous messieurs quand il s’agit d’être honnête sur nos envies honteuses.

    • C’est gentillement transgressif donc excitant.
      Les méandres mystérieux de la fantasmatique propre à chaques individus.. que voulez vous.
      Ma fille est lesbienne et ma compagne est bi, j’aimerai que ma fille me gronde en me montrant comment bien pratiquer un cunni en s’appliquant à le faire sur sa belle mère, et moi je regarderai et je prendrai notes . pourquoi pas. Très bon récit.

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