La Voix qui tremble.. Natacha à l’hôtel

Je m’appelle Marc, j’ai 42 ans, et je suis un cocu consentant. Ce soir, en cet automne 2024, je suis seul dans notre appartement parisien, un verre de whisky à la main, le cœur battant à tout rompre. La lumière tamisée de la lampe projette des ombres sur les murs, et le silence est oppressant. Je fixe mon téléphone sur la table basse, hésitant, mais je sais que je vais appeler. Natacha, ma femme depuis 10 ans, est à l’Hôtel #####, près de la gare de l’Est, chambre 121. Elle est là-bas avec deux hommes, des Afro-Antillais, un plan qu’on a organisé via notre fiche sur wwylde.fr. On a contacté Z, un organisateur de plans cuckolding qu’on a trouvé sur le site, connu dans le milieu libertin. Il a déjà arrangé des plans pour d’autres couples – on a lu des témoignages sur La Factory, un couple, Aziz et Sanaa, qui parlait de lui – et on lui a fait confiance pour trouver deux hommes, 30-35 ans, pour baiser Natacha ce soir, pendant que je reste à la maison.

Natacha, 34 ans, est une femme magnifique – grande, mince, une belle poitrine ferme, un petit cul qui me rend fou. Elle sait que j’aime être humilié, que l’idée qu’elle se donne à des hommes noirs, plus jeunes, plus virils, me fait bander comme jamais. Ce soir, Z a choisi Abdoulaye, 32 ans, et Bakary, 34 ans, deux hommes d’une cité de la banlieue Ouest, qu’il connaît pour leurs « performances ». On a insisté sur une règle : rapports protégés, toujours.

Natacha est d’accord – elle aime s’amuser, mais elle est prudente, et Z a assuré que les hommes respecteraient ça. Je prends une gorgée de whisky, la brûlure apaisant mes nerfs, et compose le numéro de l’hôtel. Une sonnerie, deux, cinq – mon estomac se noue, imaginant Natacha déjà en train de jouir.

Enfin, une voix masculine répond : « Hôtel ####, bonsoir, comment puis-je vous aider ? » Je déglutis, ma voix tremblante : « Bonsoir, je voudrais parler à la chambre 121. » Le réceptionniste, neutre, répond : « Un instant, je vous transfère. »

Les sonneries reprennent, chaque tonalité amplifiant mon excitation. Au bout de quelques sonneries, une voix grave, assurée, répond :

« Allô ? » Mon cœur s’arrête – un autre homme, dans la chambre de ma femme.

« Je… je voudrais parler à Natacha, » dis-je, la voix rauque. L’homme, sans un mot, passe le téléphone. « Chéri ? »

La voix de Natacha, rauque et essoufflée, résonne dans le combiné. Mon sexe durcit instantanément, un mélange de jalousie et d’excitation me submergeant.

« Natacha, qu’est-ce que tu fais ? » dis-je, bien que je connaisse la réponse. Elle rit, un son teinté de plaisir : « Je suis à l’hôtel… avec Abdoulaye et Bakary » Les mots me frappent comme un coup, mais au lieu de la colère, je sens une chaleur perverse monter en moi. Abdoulaye et Bakary – des noms que je ne connais pas, mais que Z a choisis pour leur virilité, leur capacité à satisfaire ma femme comme je ne le ferai jamais.

Avant que je puisse répondre, un gémissement rauque échappe à Natacha, un son que je reconnais – celui qu’elle pousse quand elle jouit. « Oh… chéri… ils… ils me baisent… si fort… » murmure-t-elle, sa voix entrecoupée de cris de plaisir. Je ferme les yeux, imaginant la scène : Natacha, nue sur le lit, ses cheveux bruns étalés sur l’oreiller, ses seins lourds tressautant à chaque coup de reins, son petit cul cambré offert à Abdoulaye et Bakary. Je les vois, musclés, leurs corps luisants de sueur, leurs queues épaisses – protégées par des préservatifs, comme convenu – la pénétrant tour à tour. J’entends un claquement rythmé – des hanches contre son cul – et un grognement masculin, suivi d’un cri de Natacha : « Oui… comme ça… plus fort… »

Mon cœur s’emballe, mon sexe douloureux contre mon pantalon. « Natacha… tu… tu jouis ? » dis-je, ma voix tremblante. Elle gémit de nouveau, un son aigu et désespéré : « Oui… chéri… ils… ils me font jouir… tellement fort… » Elle tente de parler, mais ses mots sont hachés par ses cris : « Ils… ils me… baisent… devant… toi… t’aimes… ça… hein ? » Je ne réponds pas, mais mon silence parle pour moi. Je déboutonne mon pantalon, libérant mon sexe, et commence à me caresser, ses gémissements résonnant dans mon oreille.

Je l’imagine, les yeux révulsés, la bouche ouverte, criant de plaisir alors qu’Abdoulaye et Bakary la prennent sans retenue. L’humiliation est totale – ma femme, ma Natacha, se donne à eux, et moi, je me masturbe en l’écoutant, excité par ma propre déchéance. « Ils… ils sont… si gros… » murmure-t-elle, sa voix brisée par un autre cri. Je les vois, leurs queues épaisses, protégées, la pénétrant, leurs mains sur ses seins, son cul, sa bouche. Je suis un cocu, et j’aime ça. Les cris de Natacha s’intensifient, un mélange de plaisir et de tension, et je sens une vague de chaleur m’envahir. « Chéri… ils… ils vont… jouir… » murmure-t-elle, sa voix brisée par un autre gémissement. J’imagine la scène – Abdoulaye et Bakary, leurs corps tendus, giclant sur le visage et les seins de ma femme chérie, leurs grognements de plaisir résonnant dans la chambre, tandis que Natacha jouit une dernière fois, son corps secoué de spasmes. J’entends un grognement masculin, suivi d’un cri aigu de Natacha, et je sais qu’ils ont fini.

Je jouis à mon tour, un orgasme violent qui me laisse tremblant, mon foutre tachant mon pantalon. Je halète, le téléphone collé à mon oreille, écoutant les derniers gémissements de Natacha. « Chéri… t’as… aimé ? » murmure-t-elle, sa voix rauque, presque moqueuse. Je suis humilié, mais comblé, et je murmure : « Oui… Natacha… j’ai aimé. » Elle rit doucement : « T’es un bon mari… je rentre demain… on parlera. »

Elle raccroche, me laissant seul dans le silence de l’appartement. Je fixe le téléphone, mon esprit embrouillé par un mélange de honte, de plaisir, et d’excitation. Je sais que Natacha continuera à me tromper, et que je continuerai à l’écouter, à me masturber en imaginant ses infidélités. Je suis un cocu, et j’aime ça – une vérité que je ne peux plus nier.


Crédit photo @BonnieBlue (faut lui parler de nous, si quelqu’un la connaît)

3 commentaires

    • oui, l’histoire autour de cet audio est inventée, je m’amuse en ce moment à écrire des histoires de mes souvenirs.
      Sur ce site, comme tu le sais, rien n’est vrai sauf les événements qui sont réels. Mais les photos, vidéos, histoires sont souvent inventés.

      • Ok! 😊 D’ailleurs ça manque les audio! Rien de mieux pour donner l’ambiance d’une soirée! Après, j’imagine qu’il fait l’accord des participantes mais l’anonymat est total pourtant…

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