Compte Rendu de deux chenapantes qui avaient pour fantasme le contraste : Jeunesse/Expérience.. Elle s’imaginaient que les « p’tits vieux » sont tous des pervers en puissance.. Elles n’avaient pas tort.
Deux groupes de vieux messieurs, dont un voisin (chose rare qu’il faut signaler de temps en temps) leur ont fait une misère académicienne..
Voici leur histoire
« Avec la pimpante @Rollercoaster666 🎀💕
Je pousse la porte du bar alors que le tenancier me sort son habituel sourire. Je ne suis pas venue souvent ici. Mais je crois bien que je lui ai un peu tapé dans l’œil.
Lyly est en retard, mais elle sera suffisamment à l’heure pour qu’on ait le temps de papoter. Alors que je sirote tranquillement mon verre de prosecco (les vrais savent), je regarde le bar se remplir tranquillement.
Les gens sortent du travail et sont ici en after work. Ils discutent de Murielle la comptable qui n’a pas encore sortie les fiches de paie, de Caro qui fait chier à être en arrêt maladie et de Franck, le N+2, qui a trop mal parlé à Stéphanie la stagiaire pendant la réu en visio de ce matin. Ils sont tous à leurs habitudes, dans leurs vies. Occupés à traiter les informations de la journée, entre eux et en picolant.
Mais dans ce bar, se trame quelque chose d’invisible. Un homme plus âgé vient de faire son entrée alors que je suis toujours attablée avec mon prosecco, en attendant Lyly (qui ne vient pas, pourquoi t’es pas laaaa, refs années 80 bonjour). Il commande un verre à son tour et s’assoit à la table à côté de moi. Je sens qu’il m’observe du coin de l’œil.
Le ballet des hommes âgés continue avec l’arrivée égrainée de plusieurs d’entre eux, à la suite, qui s’éparpillent chacun dans un des coins du bar. Personne ne remarque cette scène. Mais c’est comme si nous étions tous reliés par un fil invisible…
C’est le moment que choisit Lyly pour débarquer tout sourire avec ses longues boucles brunes, son long manteau noir et son air légèrement essoufflé. On papote un peu histoire de se détendre avant l’heure fatidique.. Puis on attrape nos sacs et on se dirige vers La Facto.
Dans la désormais célèbre salle de bain aux murs marbrés, nos cœurs s’accélèrent à mesure que l’on se prépare. Nous avons toutes deux une mini jupe flashy rose ou argentée, un micro tshirt blanc, une tétine, et un bavoir afin de bien récupérer les fluides en tout genre. Ça y est, nous voilà toutes mignonnes avant de se faire défoncer comme des putes. Fin prêtes.
En entrant dans la vaste pièce, je reconnais les visages du bar, et ils nous reconnaissent en retour. Je pense qu’ils savaient, en rentrant dans le troquet, que nous étions les chiennes. Ils nous observaient, faisant leurs suppositions sur les deux jeunes femmes attablées tranquillement et discutant l’air de rien. Et les voilà désormais réunis en une vraie horde d’hommes âgés, ravis de pouvoir démonter de la minette accroc à la queue.
Dès le départ, Lyly et moi suçons avec avidité. Il faut y aller pour faire bander tout ce beau monde, alors on ne lésine pas sur la gorge profonde. Je me vomis même dessus comme une bonne vide-couille prête à tout pour que ses trous servent. Heureusement j’avais prévu mon bavoir cette fois ci.
Ensuite les papis pervers n’ont qu’une envie : défoncer mon cul de chienne, bien offert. Car ce n’est pas tous les jours qu’ils peuvent déchirer de jeunes femmes, et ils vont bien en profiter ! Ils me sodomisent à la chaîne, en continu, avant de me passer en double pour étirer mes trous un maximum.
Lorsque je me fait enculer à la chaine, je vrille quasiment systématiquement. Disons que c’est un peu mon subspace personnel. Au loin, dans mes brumes, je les entends grommeler et me dégrader..
- On va t’enculer profond, hein ? Je vais te la rentrer bien au fond, prends tout…
- Tu te fais bien enculer hein ? Tiens, prends ma queue dans ton cul.
- Elle aime ça hein ?! Elle est bonne, mais qu’est ce qu’elle est bonne !
- T’es une vraie pute à vieux.
L’un d’eux me glisse même..
- Ahhh, vous étiez belles toutes les deux au bar, hein, toutes fraîches, pimpantes… Et là vous n’êtes plus que deux putes à défoncer.
Le parallèle me rend juste dingue. Le contraste, toujours ce foutu contraste, qui me fait complètement vriller de la carafe. J’ADORE ça.
Après un long moment de limage intensif, je retrouve Lyly toujours en train de se faire démonter, pour me faire bien baiser avec elle. Le maître des lieux nous enferme alors toutes les deux dans une cage afin que l’on soit à la merci des vieux papis. Ils ne tardent pas à jouir sur nos petites gueules de putes… Le moment parfait pour passer le sperme récolté de la bouche de Lyly à la mienne, puis de la sienne à la mienne, en un échange délicieusement baveux..
- Ils sont super pervers ces papis… me glisse Lyly à l’oreille, un sourire en coin.
À posteriori, je me fais la réflexion… Effectivement si à 60 ou 80 ans ils passent toujours derrière le rideaux faire des gangbangs de minettes, c’est que ce sont bel et bien de gros pervers… Ce qui est loin de déplaire à la grosse perverse que je suis moi même 😈 Bon match.
Après une bonne heure de défonçage non stop et de fluides en tout genre, suivi d’une session show de pipi dans nos petites culottes sous les yeux ébahis de notre crew du troisième âge, nous voilà clôturant cette folle soirée par le traditionnel rinçage à la pisse lors duquel on se montre plus salopes que jamais.
Et aucune crise cardiaque à l’horizon… Que je sache 😈 »

Ah ces petits échanges de regards avec mes voisines de table au café, si élégantes et sages comme des working girls chics!
Puis après descente dans les corridors secrets, un long moment d’attente à la factory (on les entendait rire en se préparant) avec un apéro plein de rires et d’improvisations d’air d’opéras (si!), ou réunis fauves et provocantes hetaïres pour lancer après cette photo de classe un déchaînement de plaisirs bien sauvages et bien hard.
Et de la même manière que je fus le premier à croiser son regard au café, j’inaugurais le cul encore bien serré de notre belle Vénus auburn pour un bon et brutal limage. Ma passion…
Plus tard , merveilleusement branlé et pompé, je déversais mon jet sur les lèvres entrouverte de Rollercoaster enfermée dans la cage et qui le partageait aussitôt goulûment avec sa complice en un brulant baiser.
Grandiose et à remettre un jour!
Merci à nos deux stars aussi élégantes que charmeuses et généreuses.
Vieux, vieux… Juste jeunes depuis un peu plus longtemps, voilà tout ! Et il arrive régulièrement que les jeunes baissent pavillon avant nous et que nous ne restions que deux vétérans pour satisfaire la Dame…
Bon, pour se rassurer, voilà ; ça, c’est fait !…
Merci beaucoup, chère SweetCat, pour ce récit immortalisant cet excellent souvenir, ainsi que la photo (NB : le caviardage des visages a une efficacité limitée, mon épouse m’a reconnu tout de suite !…). Récit rédigé d’une plume alerte par une femme qui sait ce qu’elle veut et ce qu’elle fait ; et qui retrace fidèlement cet événement dantesque, à l’image de celui de ton premier gang bang qui restera un de mes plus grands souvenirs de libertin (et il y en eut quelques uns !…).
Je n’étais pas au troquet avant la tempête et je le regrette, pour la tension qui devait monter lentement, d’autant plus excitante sans doute qu’une partie des clients seulement était dans le jeu… Par contre, je me souviens maintenant grâce au confrère qui a posté le premier message que c’est juste avant le lancement de cette soirée-là que nous avons chanté quelques airs d’opéra tandis que les deux working girls se préparaient à se métamorphoser en putes d’un soir pour un fantasme un peu plus inconvenant que la moyenne… Cocasse… Et quelle rigolade !…
Lyly et toi, prodigieuses salopes chacune en votre genre mais parfaitement complices et complémentaires, nous avez offert une soirée inoubliable, qui manifestement vous a plu autant qu’à nous, ce qui est notre plus belle récompense. Merci pour tout cela et aussi la petite faveur que tu m’as gentiment accordée…
Bonne continuation à vous deux et tout le meilleur !
Biz,