16 Avril 2025, 03h00
Il est 3h00 du matin, et je suis assis sur le canapé en velours dans notre salon, face à la porte d’entrée que je regarde sans discontinuer depuis 21h, rue d’Alleray, un mélange d’anticipation et de jalousie me rongeant l’estomac. Sophie, ma femme, est descendue ce soir au sous-sol de l’immeuble, à la Factory, un espace aménagé pour des jeux de sexe, et je suis au courant depuis 6h déjà. 6h qu’elle doit se faire baiser non stop. C’est notre arrangement – elle me cocufie, et moi, je veux tout savoir, chaque détail, chaque moment où elle se donne à d’autres. Ça me brûle, ça m’humilie, mais ça m’excite, une honte délicieuse qui me fait bander. Ce soir, après des mois d’hésitation, Sophie a enfin contacté Z, le propriétaire de la Factory, un organisateur très particulier de gang bangs, professionnel qui garantit l’anonymat absolu de tous les participants. Nous avons longuement hésité à cause de la peur et de la pression du voisinage – trois articles incendiaires dans Le Parisien ont dénoncé la Factory, et les appels incessants à la police pour forcer Z à déménager nous ont fait douter. La peur d’être découverts, jugés, nous a rongés, mais l’envie était plus forte. J’attends qu’elle remonte pour qu’elle me raconte, et ce soir, je sais que ça va être intense – elle m’a prévenu qu’elle risquait de rentrer tard, qu’il pourrait y avoir plus d’un mec. Ma bite est déjà dure dans mon pantalon, l’attente me rend fou. J’ai croisé Z à 20h dans le hall, il ne sait pas que c’est ma femme qui sera chez lui ce soir.
La porte s’ouvre enfin, et Sophie entre, épuisée mais un sourire satisfait sur les lèvres. Ses cheveux blonds, mi-longs, sont en désordre, ses yeux bleus brillent encore d’excitation malgré la fatigue. Elle porte une mini-robe noire moulante, décolletée, qui s’arrête à mi-cuisse, ses talons hauts à la main – ses cuisses luisent, et je sais déjà ce que je vais trouver là-dessous. Elle s’effondre sur le canapé à côté de moi, son odeur – un mélange de sueur, de parfum, et de sperme – envahissant l’espace. « Je suis crevée, Laurent… Ils m’ont baisée toute la nuit », murmure-t-elle, sa voix rauque, un sourire en coin. Ma bite tressaute, et je me penche vers elle, prêt à tout entendre.
« Allez, Sophie, raconte-moi… Qu’est-ce qui s’est passé à la Factory ? C’était qui ? » dis-je, ma voix tremblante, un mélange d’excitation et de honte.
Elle se redresse légèrement, me regarde avec un sourire malicieux. « J’étais au sous-sol, à la Factory… Un espace immense, lumière rouge tamisée, murs en briques en or, odeur de cuir, de vanille et de canelle. Il y avait des matelas noirs, des chaînes aux murs, une maison de Barbie, un immense lit rond, du bois brut partout, une ambiance élégante et sexe à la fois mais électrisante. Z était là, discret, veillant à ce que tout reste anonyme, masques à disposition, pas de noms échangés », dit-elle, ses yeux pétillants. Il y avait Youssef, Marco et Sofiane
« Youssef… À quoi il ressemblait ? » je demande, ma bite durcissant encore plus.
« Maghrébin, la trentaine, peau mate, cheveux noirs courts, barbe bien taillée, 1m80, baraqué, musclé… Le genre de mec qui n’habite pas l’immeuble. Le genre de gars qui me fait peur dans le métro mais qui m’excite aussi. Il portait un jean noir et un t-shirt moulant, et dès que je suis descendue, j’ai vu la bosse dans son jean – il était déjà dur rien qu’en me voyant, c’est avec lui que j’ai commencé », répond-elle, un sourire satisfait sur les lèvres.
« Et… Comment il t’a baisée ? » dis-je, ma voix rauque, ma main tremblante posée sur sa cuisse.
Sophie soupire, un mélange de fatigue et de plaisir dans son regard. « Il m’a accueillie avec un verre de whisky, mais on n’a pas attendu longtemps. Il m’a plaquée contre un mur en béton, a remonté ma robe, et m’a doigtée direct – ses doigts étaient épais, il m’a fait jouir en deux minutes, ma chatte trempée, coulant sur ses doigts. Puis il m’a fait mettre à quatre pattes sur un matelas, a baissé son jean, et m’a enculée d’un coup sec… Sa bite était grosse, Laurent, bien plus que la tienne, et il m’a défoncée, mes fesses tremblaient à chaque coup, j’ai crié, il m’a traitée de pute, et j’ai joui encore, mon cul serré autour de lui. Il a joui dedans, un flot épais, brûlant, qui débordait sur mes cuisses », dit-elle, sa voix traînante, épuisée mais excitée par le souvenir.
Ma bite est dure à éclater, mais la jalousie me ronge – elle a joui comme je ne l’ai jamais vue jouir avec moi. « Et… Il t’a baisée autrement ? » je demande, ma voix tremblante.
« Oui… Il m’a fait sucer après – j’ai goûté mon cul sur sa bite, il m’a tenue par les cheveux, enfonçant sa verge dans ma gorge, un goût salé, âcre, j’ai presque vomi, mais j’ai continué, je voulais lui plaire. Il a joui dans ma bouche, un jet qui a débordé sur mon menton, coulé sur mes seins… Puis il m’a retournée, m’a baisée la chatte sur le matelas, mes jambes écartées, il m’a pilonnée, mes seins tressautant, il m’a giflée, m’a traitée de salope, et j’ai joui encore, ma chatte se serrant autour de lui. Il a joui dedans, un autre flot, ma chatte pleine, débordant sur le cuir », répond-elle, ses yeux brillants.
Je suis pétrifié, ma bite dure, mais mon cœur se serre – elle a été souillée, humiliée, et elle a aimé ça. « Tu as dit qu’il y avait d’autres mecs… Qui étaient-ils ? » je demande, ma voix tremblante.
Sophie sourit, un éclat malicieux dans les yeux. « Vers minuit, deux de ses amis sont arrivés… Sofiane, un africain, grand, baraqué, peau très sombre, dreads courtes, et Marco, un européen, italien je crois, plus mince, cheveux blonds, tatouages sur les bras. Z m’a présentée comme sa ‘salope de la soirée’, et ils ont ri, leurs bites déjà dures en me voyant, couverte de sperme, ma robe relevée, mes cuisses luisantes », dit-elle, un frisson dans la voix.
« Et… Comment ils t’ont baisée ? » dis-je, ma bite pulsant, la jalousie me brûlant.
« Sofiane m’a prise en premier… Il m’a fait mettre à quatre pattes sur le sol, a arraché ma robe – j’étais nue, à part mes talons –, et m’a enculée direct, sa bite énorme, 18/19 cm, épaisse, j’ai crié, ça faisait mal, mais j’ai joui presque tout de suite, mon cul s’ouvrant sous ses coups. Il m’a frappée les fesses, m’a traitée de pute, et a joui dedans, un flot qui débordait, coulant sur mes cuisses. Marco m’a fait sucer pendant ce temps – sa bite était plus fine, mais longue, un goût salé, il m’a tenue par les cheveux, baisé ma gorge, et a joui sur mon visage, un jet qui a coulé sur mes seins. Puis ils m’ont baisée ensemble – Sofiane dans ma chatte, Marco dans mon cul, leurs mouvements synchronisés, j’étais écartelée, je criais, je jouissais sans arrêt, mes seins tressautant, mes cuisses trempées. Ils ont joui en moi, cul et chatte pleins, débordant partout… J’étais épuisée, mais ils ont continué jusqu’à 2h30, me prenant tour à tour, me faisant sucer après chaque orgasme », dit-elle, sa voix traînante, ses yeux se fermant presque de fatigue.
Ma bite est au bord de l’explosion, mais je suis brisé – ma femme, baisée par trois mecs, souillée, humiliée, et elle a adoré ça. Je glisse une main tremblante sous sa robe, dans sa culotte – elle est trempée, un mélange de mouille et de sperme, épais, collant. Je ressors ma main, pleine de foutre, luisante, l’odeur âcre envahissant l’air. Sophie me regarde, un sourire fatigué mais provocateur. « Tu es content de ton cadeau, Laurent ? » murmure-t-elle, ses yeux mi-clos. Je hoche la tête, incapable de parler, ma bite dure, l’humiliation et l’excitation me consumant. Elle s’endort sur le canapé, épuisée, son corps luisant de sperme, et je reste là, ma main pleine de mon foutre, brisé mais excité, ma vie de cocu enfin scellée.
Maintenant je sais enfin qui je suis.
L. pour Z.

belle plume Monsieur Z .
J’espère que les mémères la pudeur de la bobohème Parisienne ou les pignouses décérébrée progressiste toutes dites féministes enragent à la lecture de tes récits.
Je n’en doute pas un seul instant .