Compte-Rendu de Douce (Parking hard)

Tout c’est passé très vite. A peine le temps de comprendre la situation qu’une main bâillonnait ma bouche et qu’une autre posée sur mon sein nu, me tenaient fermement contre le buste de mon kidnappeur et que mes jambes ont été soulevées par deux bras vigoureux.
Mon Maître n’a pas eu le temps de réagir à l’injonction qui lui a été faite de rester tranquille et deux autres hommes sont sortis d’entre les voitures.

Revenons-en aux faits.

Ce soir là, mon Maître et moi nous sommes rendus dans un grand centre commercial afin d’y faire des emplettes et en profiter pour provoquer quelques situations d’exhibe. J’aime qu’il me guide, m’ordonne une pose, d’un geste ou d’un regard. Puis qu’il me félicite après avoir parfois eu le temps d’immortaliser cette exhibe.
J’aime sentir le regard des hommes et des femmes se poser sur mes jambes, mon buste, que leur yeux se perdent dans l’ouverture de mon décolleté ou sous ma jupe. Parfois ils peuvent voir mes seins ou mon sexe, tout deux libres de sous-vêtements. Ça ne dure bien souvent qu’une fraction de seconde, mais je sais, à leur air étonné, qu’ils n’oublieront pas cet instant qu’ils croient volé.
Mon Maître avait choisi pour moi une courte jupe plissée qui virevoltait au gré de mes pas, un crop en macramé ajouré laissant voir mon ventre, mais aussi mes seins libres, des sandales à petits talons et une veste légère couvrant mes bras.
De dos comme de face, qui aurait pu croire que je n’avais pas de culotte sous ma jupe.

Nous déambulions depuis deux heures dans la galerie marchande, m’asseyant parfois, me penchant un peu trop devant une vitrine, essayant des chaussures ou des vêtements. Mon Maître s’amusait à me défier, m’encourageant toujours plus et me félicitant tout en me montrant l’un ou l’autre des voyeurs, passants ou vendeurs, qui s’étaient bien rincés l’œil.
Tout cela ne me laissait pas indifférente et mon ventre me faisait sentir les prémices de l’excitation qui bientôt serait visible entre mes jambes.
L’heure de fermeture des magasins approchait et nous avons fait un repas léger, puis nous sommes dirigés vers l’escalator menant aux parkings en sous-sol. Ma veste négligemment posées sur un bras, je marchais devant mon Maître et mes talons raisonnaient dans l’escalier.
Arrivés au 2eme sous-sol, mon Maître a fait mine ne pas se rappeler où était la voiture. Deux hommes sont entrés sur le parking et je me suis mise en retrait pour les laisser passer, mon Maître se tenant derrière moi. Une silhouette est rapidement apparue et m’a plaqué la main sur la bouche, l’autre sous mon crop et directement sur mon sein nu.

  • elle est mignonne la petite, c’est pas une tenue pour traîner la nuit dans les parkings…

Je tentais de me débattre pour me réfugier dans la voiture et me protéger de ces hommes mais un second a soulevé mes jambes d’une main, l’autre sous ma jupe et dit tout haut :

  • cette petite salope n’a pas de culotte, elle cherche des queues les gars !

Je tentais de me débattre et cherchais mon Maître du regard, ils m’entraînèrent de force vers le coffre d’un gros SUV garé près de la porte de sortie de secours. Je me débattais tant bien que mal, faisant remonter ma jupe et dévoilant mon sexe nu. Je vis les deux autres hommes approcher et sortir leurs sexes.
Étonnamment ils me souriaient…
Je compris à cet instant que ce rapt était orchestré et que je n’allais pas être violée par quatre voyous passant là par hasard.
Ils me déposèrent dans le coffre et m’interdirent de crier. L’un d’eux m’a caressé les fesses, un autre libera mes seins, tandis que les deux derniers sortirent leurs sexes tendus de leurs pantalons.
J’avoue qu’à cet instant, la peur m’a quittée et l’adrénaline avait échauffé tout mon corps, sentir ces mains, leurs regards, la présence de mon Maître à côté de la voiture, mon sexe s’est humidifié de plus belle !
J’ai sucé leurs sexes tandis qu’un autre me pénétrait. Puis ils m’ont emmenée vers la sortie de secours et je me suis retrouvée pliée en deux à sucer alternativement deux sexes tandis qu’un autre me baisait vigoureusement.
Je me suis agenouillée devant ces deux mâts tendus et les ai saisis à pleines mains. Ma bouche a aussitôt été investie par l’un tandis que je masturbais le second. Les commentaires fusaient, ils riaient de ma surprise passée et de mon entrain soudain, de ma gourmandise à changer de sexe comme une affamée.
Par derrière, deux mains m’ont faite relever afin d’offrir à nouveau mon fessier. Aussitôt une queue est profondément entrée dans mon vagin, me faisant pousser un long et bruyant soupir.
L’homme que je suçais a joui dans ma bouche, de longues giclées qui ont aspergés ma langue et mon palais. Le second a pris sa place et s’est masturbé, ordonnant que je garde la bouche ouverte. N’avalant que le sperme de mon Maître, le jus du précédent a coulé sur mon buste et mes seins, suivi du sien, abondant.
Les coups de boutoir se sont faits plus forts et j’ai senti qu’il jouissait en moi. Il a retiré sa capote et l’a vidée sur mes seins.
Le quatrième m’a littéralement baisé la bouche avant de gicler un sperme épais sur mes joues et mon front, se mêlant aux giclées précédentes.
Je restais ainsi, sans bouger, tandis qu’ils se rajustaient et quittaient la scène.
Tout ça n’a pas dû prendre plus de dix minutes !

Me redressant sur mes jambes flageolantes, je vis mon Maître tout sourire, son ami Z., organisateur d’évents, se trouvait là lui aussi au début. Il me tendit une serviette et nous partîmes vers la voiture.
Je n’ai rien vu venir. Pourtant, le choix de se stationner au deuxième sous-sol alors qu’il restait des places libres au 1er, prendre l’escalator plutôt que l’ascenseur, les messages reçus auxquels mon Maître répondait, pas un geste de défense, pas un cris. Cela aurait dû m’alerter de ce traquenard, mais non je n’ai rien vu venir, et… j’ai adoré. @Douce-brat

Merci Monsieur, ainsi que @DerriereLeRideau

4 commentaires

  1. Incroyable récit avec une impression d’avoir été acteur à la lecture, et dans l’imaginaire. on en redemande. Pierre

  2. Pouvoir disposer à loisir d’une telle organisation et de son réseau est une bénédiction !
    Que ses détracteurs aillent au diable !!
    On a qu’une vie…

    • Et quand pourrions-nous donc vous rencontrer et vous procurer du plaisir ?

Répondre à Douce, en appartenance de Maître SAnnuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *