Nous sommes le 5 septembre 2024, dans notre appartement au cinquième étage de l’Immeuble 5, Cité des Lilas, Courbevoie. La canicule s’est adoucie, mais une tension ardente persiste entre Amel, mon épouse, et moi, Karim. Depuis la nuit du 25 août, où Amel s’est livrée à Rachid dans un sac de couchage à deux mètres de moi, feignant de dormir, et depuis l’orgie du 30 août, où je me suis dissimulé dans un placard pour l’observer se faire posséder par cinq hommes aux côtés de Meriem et Sofia, mon existence est un tourbillon de honte et d’excitation malsaine. Amel, Tunisienne de vingt-sept ans, belle à couper le souffle avec ses un mètre soixante-huit, sa peau mate, ses cheveux noirs soyeux, et ses seins somptueux – cent bonnet D –, sait que je suis informé de ses débauches. Elle a perçu mes regards fuyants, mes silences pesants, mais je n’ai jamais osé l’affronter – jusqu’à ce soir. À vingt-neuf ans, comptable dans une clinique de Courbevoie, je suis introverti, maladroit avec les femmes, et incapable de la satisfaire charnellement. Notre accord tacite – elle peut chercher ailleurs ce que je ne lui offre pas – m’a transformé en mari trompé, un rôle qui m’humilie autant qu’il m’enflamme. Ce soir, poussé par un mélange de colère et de désespoir, je vais enfin parler, ignorant que cette confrontation va sceller mon destin d’une manière inattendue.
Le salon est baigné d’une lumière tamisée, les rideaux tirés pour préserver une intimité illusoire. Amel est assise sur le canapé, vêtue d’une robe noire légère qui moule ses courbes, ses seins généreux tendant le tissu, ses cuisses mates croisées avec une nonchalance provocante. Elle feuillette son téléphone, un sourire en coin, tandis que je me tiens debout près de la table basse, un verre d’eau à la main, le cœur battant à tout rompre. Ces derniers jours, les images de ses débauches – Rachid la possédant dans le sac de couchage, Meriem et Sofia partageant le sperme des hommes dans notre salon – tournent en boucle dans mon esprit, mêlant honte, jalousie, et une érection tenace que je maudis. Ce soir, je ne peux plus me taire. Je pose le verre, ma voix tremblante brisant le silence.
« Amel, nous devons discuter », dis-je, les mots s’échappant avec difficulté. Elle lève les yeux, son sourire s’effaçant légèrement, un éclat curieux dans ses prunelles noires. « Discuter ? À quel sujet, Karim ? » répond-elle, sa voix douce mais teintée d’une pointe de défi. Je déglutis, mes joues brûlant de honte, mais je poursuis : « De tes agissements… Avec Rachid, avec les autres… Je suis au courant de tout, Amel. La soirée de ton anniversaire, l’autre jour avec Meriem et Sofia… Je t’ai vue, j’étais présent, dissimulé. Tu me rends cocu devant tout le monde, et je ne puis supporter cela davantage. »
Un silence pesant s’installe, ses yeux me scrutant comme si elle évaluait ma sincérité. Puis, à ma surprise, elle éclate de rire – un son mélodieux, cruel, qui me transperce. « Oh, Karim… Tu étais dissimulé ? Dans le placard, tel un petit espion ? » murmure-t-elle, se levant pour s’approcher de moi, ses hanches ondulant, son parfum musqué envahissant mes sens. Je recule d’un pas, mon sexe se raidissant malgré moi sous mon jean. « Ce n’est point risible, Amel… Tu m’humilies, tu te donnes à tout le monde, et moi, que suis-je ? Un misérable qui observe ? » Ma voix se brise, un mélange de colère et de désir me consumant.
Elle s’arrête à quelques centimètres, ses seins frôlant mon torse, son souffle chaud contre mon visage. « Tu es mon époux, Karim », murmure-t-elle, son ton soudain sérieux. « Mais soyons honnêtes, tu ne me contentes point. Tu jouis en deux minutes, tu trembles dès que je te touche… Moi, j’ai besoin de plus, de vrais sexes, de sperme qui coule, de jouir jusqu’à en perdre la raison. Tu le sais, et cela t’excite, n’est-ce pas ? Ton sexe se raidit rien qu’en y songeant… » Ses paroles me frappent comme une gifle, mais mon membre palpite, trahissant mon trouble. Je veux nier, protester, mais elle a raison, et cette vérité me déchire.
« Ce n’est pas juste… » murmurai-je, ma voix faible. « Je veux que cela change, Amel. Je veux être suffisant pour toi. » Elle me fixe, un sourire narquois aux lèvres, puis s’écarte, croisant les bras sous ses seins, les faisant remonter dans un geste provocateur. « Fort bien, Karim. Je te propose un pacte », dit-elle, sa voix ferme. « Ce soir, tu me possèdes, ici, sur ce canapé. Si tu tiens plus de vingt minutes sans jouir, je te promets de cesser tout – plus de Rachid, plus d’orgies, uniquement toi et moi. Mais si tu échoues, je retrouve ma liberté entière, comme avant notre mariage, et je te révélerai tout ce que je faisais alors… Crois-moi, tu seras surpris. Qu’en dis-tu ? »
Mon cœur s’arrête, une vague de panique mêlée d’excitation m’envahissant. Vingt minutes ? Je n’ai jamais tenu plus de cinq, mais l’idée de la reconquérir, de prouver que je suis un homme, me pousse à accepter. « D’accord… Je vais tenter », murmurai-je, ma voix tremblante. Elle sourit, un éclat prédateur dans les yeux, et murmure : « Parfait, cocu… Allons-y. »
Amel s’assoit sur le canapé, ôtant sa robe d’un geste fluide, révélant son corps nu – ses gros seins aux aréoles sombres, son cul charnu, sa chatte rasée luisant de mouille sous la lumière tamisée. « Déshabille-toi, Karim », ordonne-t-elle, sa voix rauque, ses doigts effleurant ses lèvres humides. Je retire mon jean et mon caleçon, mon sexe déjà raidi, vibrant d’excitation mais aussi de crainte – je sais que je vais faillir, mais je veux essayer, pour elle, pour moi. Elle s’allonge, écartant les cuisses, son regard provocateur me défiant. « Viens, prends-moi… Montre-moi que tu es capable d’être un homme », murmure-t-elle, un sourire moqueur aux lèvres.
Je m’approche, mes mains tremblantes caressant ses cuisses mates, et m’enfonce dans sa chatte d’un coup hésitant – un bruit humide résonne, une chaleur brûlante m’enveloppe, ses parois serrées frémissant autour de mon membre. Je gémis, déjà au bord de l’extase, et commence à bouger, mes coups de reins maladroits, mon souffle saccadé. « C’est tout ce que tu offres ? » murmure-t-elle, ses seins tressautant à chaque mouvement, ses doigts pinçant ses tétons durs. Je ferme les yeux, tentant de me concentrer, mais chaque sensation – sa chatte humide, son odeur musquée, son regard narquois – me pousse vers l’abîme. « Allons, Karim, tiens vingt minutes… Ou désires-tu que je te narre comment je suce Rachid ? » murmure-t-elle, sa voix cruelle.
Je grogne, accélérant mes mouvements, mais après cinq minutes, la pression s’intensifie, mon sexe frémissant dangereusement. « Ralentis, je… je vais… » balbutiai-je, mais elle enroule ses jambes autour de moi, ses talons s’enfonçant dans mes fesses. « Non, continue, cocu… Montre-moi… » murmure-t-elle, ses doigts glissant sur sa chatte, caressant son clitoris. À sept minutes, je sens l’orgasme approcher, et à dix minutes, je ne peux plus résister – je jouis, un flot faible jaillissant dans sa chatte, un gémissement pathétique s’échappant de ma gorge. Je m’effondre sur elle, haletant, ma honte m’étouffant. « Dix minutes… Honorable, mais loin des vingt », murmure-t-elle, un rire cruel dans la voix. « J’ai triomphé, Karim. Tu es trop faible. »
Je me redresse, les larmes aux yeux, et murmure : « J’ai tenté… Je ne puis… » Elle me fixe, son regard adouci par une étrange tendresse, et murmure : « Je sais, cocu. Tu n’es point fait pour cela… Mais je serai magnanime. » Elle se lève, nue, son corps luisant de sueur, et s’assoit à côté de moi, ses doigts caressant mon sexe flasque. « Tu peux être mon spectateur, Karim. Je continuerai à me donner à qui je veux – Rachid, Sofiane, Jamal, tous ceux qui me font jouir. Mais je te relaterai tout, chaque détail, chaque verge, chaque goutte de sperme. Cela t’excite, n’est-ce pas ? »
Je baisse les yeux, mon membre tressaillant malgré ma défaite, et murmure : « Oui… Cela m’excite… » Elle sourit, triomphante, et murmure : « Sage décision, cocu. Écoute, puisque tu as perdu… Avant notre mariage, j’étais une véritable allumeuse. J’ai sucé tous les hommes de la Cité, Karim. Sofiane dans une cave, Jamal dans un escalier, Lamine dans une voiture… Même tes amis, tes collègues à la clinique, ils ont tous goûté ma bouche. Je les faisais durcir, je les vidais, et ils en redemandaient. Désormais, je reprendrai cette vie, et tu seras là pour regarder et entendre. Entendu ? »
Ses paroles me brisent, chaque révélation comme un coup de poignard, mais mon sexe se raidit à nouveau, mon excitation surpassant ma honte. « Entendu… » murmurai-je, vaincu. Elle se penche, ses lèvres effleurant mon oreille, et murmure : « Bonne résolution, cocu. Demain, je vois Rachid. Je te conterai comment il m’encule… » Elle se lève, sa robe à la main, et disparaît dans la chambre, me laissant seul, mon sexe durci, mon esprit en lambeaux. Que suis-je devenu ? Un spectateur, un cocu assumé, prêt à écouter les récits de sa débauche. Et je ne sais si je veux arrêter cela – ou si je veux qu’elle aille plus loin.

Je veux bien remplir Amel …
Très bonne propose … une suite à ce récit ?
impatient de lire la suite des aventures de karim! merci z pour tes talents d’ecrivain
Belle histoire, j’aimerais qu’Amel aille plus loin