Hier, pour la première fois de ma vie, je t’ai prise en photo et je t’ai envoyé à ma copine. Hier, pour la première fois de ma vie, je t’ai postée, anonymement sur les réseaux.
Tu as beaucoup plu à voir les likes, les coups de coeur, les « je la veux » et je crois que cela t’es monté à la tête… même si tu n’as pas de tête.
Je le constate, depuis hier, ma bite, tu ne te sens plus pisser comme le dit si bien l’expression. Tu es devenue ultra exigeante, juste parce que tu as été prise en photo avec le bon angle et au bon moment.
Pourtant, toi et moi, savons vraiment ce que tu vaux sur le terrain.
Tu n’as pas toujours été au rendez-vous lorsque de belles chattes juteuses n’attendaient que toi et que tu sois ce jour là dans une forme olympique. Plein de fois, j’ai du trouver des trésors de prétextes pour que l’on t’accorde une seconde chance parce qu’à la première rencontre tu as fait ta timide.
Demande à la langue, le nombre d’entorses qu’elle s’est faite pour palier à tes grèves surprises.. Demande aux doigts qui s’acharnaient à forer des chattes qui au fond ne demandaient qu’à te connaître plus profondément et plus directement.
Pire, combien de fois tu n’as daigné te réveiller, t’étirer, bander qu’une fois rentrés toi et moi à la maison déçus d’avoir déçu encore une fois, une femme et sa chatte à qui nous avions fait des promesses de dingue.. Qu’on allait les déglinguer, les déboiter, les faire jouir comme jamais et puis..
walou..
Peau d’zob.
Mes couilles oui !!
Z.